En décembre 1994, j'ai eu l'occasion de rencontrer un personnage connu sous le nom de Yuri Buenaventura, au New Morning à Paris (Petites Ecuries)
J'ai été faciné par sa qualité de salsero ainsi que la formation de musicien talentueux comme le percussioniste d'Irakere.......
J'ai pris contact avec lui afin de le promouvoir en Suisse, le lieu était en premier Delémont pour ensuite passer à Genève (malheureusement problème de fonds)par contre peu de temps après il sortit son premier Cd avec "ne me quitte pas-version salsa" qui fera de lui une vedette.........
Voici un extrait de la musique du film SALSA......
Bonne écoute et à vous de juger.
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SALSA! 1999 Francés Yuri Buenaventura...Salsa! Movie Vincent Lecoeur Christianne Gout
jeudi 5 juin 2008
SALSA
dimanche 27 avril 2008
Hommage au King de la Soul musique- James Brown
James Joseph Brown, alias James Brown ou The Godfather of Soul, est un chanteur et musicien américain. Il est né le 3 mai 1933 à Barnwell (Caroline du Sud), et est mort le 25 décembre 2006 à Atlanta (Géorgie).
Initiateur du funk, il a eu une très grande influence sur la soul, le rhythm and blues, le gospel. Il était aussi renommé pour ses performances scéniques.
The Famous Flames
James Brown dans les années 1980Lors d'un séjour en prison, il rencontre un autre chanteur, Bobby Byrd, et intègre son groupe de rhythm and blues Avon, dont le style évolue et qui sera rapidement renommé The Famous Flames puis James Brown with The Famous Flames. Le groupe se produit principalement dans le sud des États-Unis puis connaît le succès en 1956 avec le hit "Please, Please, Please" qui s'écoulera à 1 million d'exemplaires.
Malgré ce premier single à grand succès, les neuf qui suivirent furent tous des échecs et le producteur du groupe était prêt à rompre leur contrat… ce qui n'arriva pas puisque le single suivant, Try Me (1958), se plaça directement numéro 1 des titres R&B. Ce nouveau hit fut suivi d'autres succès, I'll Go Crazy (1959) et Bewildered (1960).
Night Train (1961) est considéré aujourd'hui comme le premier album caractéristique de James Brown, avec un son instrumental, un rythme très présent et une rapidité qui marqua profondément dès sa sortie. La majorité des chansons du groupe depuis les débuts étant écrites ou co-écrites par James et son charisme surpassant tout, il s'imposa naturellement au point que les autres membres du groupe devinrent simples accompagnateurs du chanteur.
Les années 60 : « Ain't It Funky Now »
JB employa des musiciens et des arrangeurs issus du jazz, mais en tant que leader et auteur, il privilégia la simplicité du rythme RnB à la complexité et la précision du jazz. Le groupe inclut le trompettiste Lewis Hamlin, le saxophoniste Alfred "Pee Wee" Ellis, le guitariste Jimmy Nolen (qui imposa des riffs simples pour chaque chanson) et le saxophoniste Maceo Parker.
D'autres formations temporaires ont inclus le chanteur Bobby Byrd, le batteur John "Jobo" Starks, Clyde Stubblefield, Melvin Parker (frère de Maceo), le saxophoniste St. Clair Pinckney, le trombone Fred Wesley, et le guitariste Alphonso Kellum.
À la fin des années 60, Brown redéfinit encore son style avec I Got the Feelin, Licking Stick-Licking Stick (1968) et Funky Drummer (1969). Dans ces titres, il abandonne le chant traditionnel pour une approche plus rythmique calquée sur la musique (donc très rarement mélodique).
Régulièrement apparaissent des parties parlées, directement au public, à la façon des rappeurs (avant l'heure). Il introduit aussi beaucoup de ruptures de rythmes et de breaks, il déstructure.
Ses chansons se politisent aussi, constituent une critique de la société, revendiquent, les meilleurs exemples étant Say It Loud (I'm Black and I'm Proud) (1968) et I Don't Want Nobody to Give Me Nothing (Open Up the Door I'll Get It Myself) 1970).
Ce nouveau style, le Funk, influence beaucoup d'artistes comme Sly and The Family Stone, The Temptations, toute la Motown, jusqu'aux nouvelles générations, dont Michael Jackson ou Prince. James Brown est aussi l'artiste le plus samplé, que ce soit par des DJ ou d'autres artistes.
Les années 70: The JB's
En 1970, la majorité des membres du groupe de James Brown l'ont quitté pour de meilleures opportunités. Il crée donc un nouveau groupe avec Bobby Byrd incluant le bassiste Bootsy Collins, le guitariste Catfish Collins, le tromboniste Fred Wesley. Ce nouveau groupe fut baptisé The JB's et fit ses armes avec le titre « Get Up (Sex Machine) ».
Dans le désir de rester, Brown achète des stations de radio et crée son propre label chez Polydor, People, dans lequel il produira aussi certains de ses amis (dont Bobby Byrd, Lyn Collins, Myra Barnes, et Hank Ballard). Il s'est beaucoup investi dans les albums qu'il a produits, si bien qu'on reconnaît systématiquement son style derrière cette musique.
Ses productions personnelles à cette époque résument les innovations musicales des 20 années précédentes ; c'est l'époque de The Payback (1973), Papa Don't Take No Mess (1974), Funky President (1975), Get Up Offa That Thing (1976),… En 1973 il signe aussi la bande originale du film blaxploitation Black Caesar.
Miles Davis et d'autres musiciens de jazz citent alors James Brown comme une influence majeure sur leurs styles.
Vie personnelle et hommages
James Brown vivait dans le comté d'Aiken (Caroline du Sud), dans une maison au bord du fleuve Savannah, juste en face de la ville d'Augusta (Géorgie).
Brown a été marié quatre fois. Son mariage avec sa dernière épouse, Tommie Raye Hynie, qui avait eu lieu en 2002, a été annulé peu de temps après. Ils se sont pourtant remariés en 2004 et ont eu un enfant. Brown a également eu deux enfants avec sa première femme, Velma Warren, et trois avec sa seconde, Deidre Jenkins. Adrienne Rodriegues, sa troisième épouse, avait fait arrêter Brown quatre fois pour violences conjugales.
En novembre 1993, la 9e rue d'Augusta fut rebaptisée "James Brown Boulevard" au cours d'une cérémonie présidée par le maire de la ville, Charles DeVaney.
En mai 2005, une statue de bronze de plus de deux mètres de haut représentant Brown fut inaugurée à Augusta. L'inauguration aurait du avoir lieu un an plus tôt, mais elle a été reportée du fait d'une plainte à son encontre, pour violences conjugales.
En août 2006, le stade sportif local a aussi été rebaptisé en James Brown Arena. En 2007, dans leur tournée A bigger bang, les Rolling Stones lui rendent hommage avec la reprise de I'll go crazy.
vendredi 25 avril 2008
Salsa Boogaloo
Henry Pucho Brown & His Latin Soul Brothers Henry « Pucho » Brown Mais qui se souvient de Henry « Pucho » Brown ? On a tous déjà entendu un de ses morceaux, sans savoir qui en était l'interprète. A l'heure actuelle où l'on parle beaucoup des nombreuses figures du Latin Jazz, on pense notamment à Tito Puente, Cal Tjader, Willy Bobo. Il n'est pas superflu de se souvenir d'autres figures toutes aussi importantes. Il me paraît plus qu'utile de réparer cette injustice flagrante. Contrairement à la consonance de son nom, Henry Brown n'est pas « latino » mais afro-américain. Il naît dans le Bronx en 1938. Il grandit et va à l'école au sein de la communauté latino de l'époque. Fasciné par les rythmes cubains et les mambos de l'époque qu'il entend tout autour de lui, dès l'âge de 15 ans, il s'achète ses premières timbales. C'est l'époque des morceaux tels que « Anabacoa » du pianiste dominicain Frank Damiron et « Timbalero Numero Uno » de Tito Puente. En 1955, il est engagé comme timbalero dans le groupe de Joe Panama où il décroche son premier contrat professionnel. Malheureusement, le groupe de Joe Panama se sépare en 1959.
mercredi 23 avril 2008
Funk Inc-Kool is back
Ce style de Funk organ, était très joué en disco à Ostende.Pantalon pattes d'éléphant couleur vive, des pompes à talon haut......
La clientèle venait de France voisine d'Angletere. Cette musique particulière peut répendue animait les soirées chaudes de la côte belge.
Sorti en 1971 sous le label Prestige
N° Artiste Titres
1 funk inc kool is back
2 funk inc bowlegs
3 funk inc sister janie
4 funk inc the thrill is gone
5 funk inc the whipper
Funk, Inc. was a jazz funk/soul jazz group founded in Indianapolis, Indiana in 1969 by Bobby Watley, Eugene Barr, Steve Weakley, Jimmy Munford and Cecil Hunt. During the 1970s they were signed to the Prestige Records label for whom they recorded five albums, though they later disbanded in 1976.[1]
The Rolling Stones-Off The Hook
The Rolling Stones are an English band whose music was initially based on rhythm and blues and rock & roll. Formed in London and having their first success in the UK, they subsequently became popular in the US during the "British Invasion" in the early 1960s.[1]
The band formed in 1962 when original leader Brian Jones and pianist Ian Stewart were joined by singer Mick Jagger and guitarist Keith Richards, whose songwriting partnership later contributed to their taking the leadership role in the group. Bassist Bill Wyman and drummer Charlie Watts completed the early lineup. Ian Stewart was removed from the official lineup in 1963 but continued to work with the band as road manager and keyboardist until his death in 1985.
The band's early recordings were mainly covers of American blues and R&B songs. Their 1965 single "(I Can't Get No) Satisfaction" established the Rolling Stones as a premier rock and roll act.[2] Starting with their 1966 album Aftermath, the songs of Jagger and Richards, aided by the instrumental experimentation of Jones, expanded an always present stylistic flexibility. Jones died in 1969 shortly after being fired from the band and was replaced by Mick Taylor.[3] Taylor recorded five albums with The Rolling Stones before quitting in 1974. Former Faces guitarist Ronnie Wood stepped in and has been with the band ever since. Wyman left the Rolling Stones in 1993; bassist Darryl Jones, who is not an official band member, has worked with the group since 1994.
The Rolling Stones have released 22 studio albums in the UK (24 in the US), eight concert albums (nine in the US) and numerous compilations;[4][5] they have had 32 UK & US top-10 singles,[6] 43 UK & US top 10- albums between 1964 and 2008,[citation needed] and have sold more than 200 million albums worldwide.[7] 1971's Sticky Fingers began a string of eight consecutive studio albums at number one in the United States. In 1989 the Rolling Stones were inducted into the American Rock and Roll Hall of Fame, and in 2004 they were ranked number 4 in Rolling Stone magazine's 100 Greatest Artists of All Time.[8] They are also ranked as the number 2 artists of all time on Acclaimedmusic.net.[9] Their latest studio album, A Bigger Bang, was released in 2005 and followed by the highest-grossing tour in history, which lasted into late summer 2007. During the 1969 American tour, tour manager Sam Cutler introduced them as "The Greatest Rock and Roll Band in the World",[10] a title which has remained. Their image of unkempt and surly youth is one that many musicians still emulate.[10]
Label(s) Decca, Rolling Stones, Virgin, ABKCO, Interscope, Polydor
Website www.rollingstones.com
dimanche 20 avril 2008
Ramsey Lewis Trio
LA CLASSE PURE
3 Grammy Awards :
The In Crowd (album), 1965
Hold It Right There (morceau), 1966
Hang On Sloopy (morceau), 1973
7 disques d'or :
The In Crowd (album et single), 1965
Wade In The Water (album et single), 1966
Hang On Sloopy (single), 1966
The Sound of Christmas (album), 1968
Sun Goddess (album), 1976
Ramsey prend ses premiers cours de piano dès l'âge de quatre ans. Ses références sont Bach, Beethoven, Haydn, il connaît peu le jazz si ce n'est quelques disques qu'écoute son père. Mais ça va changer. Wallace Burton, avec lequel il joue dans une église, l'initie au jazz. C'est le début d'une nouvelle expérience avec un groupe de sept musiciens, The Cleffs. La guerre de Corée appelle plusieurs d'entre eux, restent Ramsey au piano, El Dee Young à la contrebasse et Red Holt à la batterie.
C'est ainsi que se forme le Ramsey Lewis Trio qui, après avoir écumé quelques clubs de Chicago, sort son premier album, Ramsey Lewis and the Gentlemen of Swing en 1958. Au début section rythmique pour un répertoire entièrement jazz, le succès national de The In Crowd, en 1965, convainc les trois membres du groupe de s'orienter vers un registre plus pop. Plusieurs reprises (Hang On Sloopy, The 'In' Crowd, A Hard Day's Night) et quelques compositions originales (Wade in the Water) jouées dans un registre jazzy confèrent au trio une renommée nationale .
En 1966, Young et Holt partent et fondent Young-Holt Trio puis Young-Holt Unlimited, et sont remplacés par Cleveland Eaton à la basse, et Maurice White (plus tard fondateur de Earth, Wind and Fire) à la batterie. En 1970, White est remplacé par Maurice Jennings. À la fin des années 1970, un claviériste complète souvent la composition du groupe. Depuis, Ramsey Lewis n'a cessé d'enregistrer des albums (une soixantaine) et de se produire en concert. Il anime également des programmes radio à Chicago et ailleurs aux États-Unis. Il est également depuis 1995 membre du groupe de smooth jazz Urban Knights.